…nous avons maintenant plusieurs réponses soutenues par les travaux scientifiques les plus récents.

La famine (article très récent)

La guerre nucléaire (les mises à jour des simulations d’hiver nucléaire) qui provoque … la famine

Le stress thermique (couplé au black out qui éteint les climatiseurs pour les pays riches…)

L’absence d’eau à cause de la sécheresse et des coupures d’électricité (dans les zones urbaines)

La noyade à cause des inondations causées par les pluies torrentielles, les débordements de la mer, les effondrements de glaciers, etc.

Les pandémies

L’IA (soit via l’accès aux systèmes d’armes nucléaires soit via le contrôle d’armées de drones tueurs à venir, soit via toute action disruptive sur les systèmes urbains vitaux interconnectés)

La cause finale de la mort biologique doit en effet être la destruction physique de l’organisme, l’absence prolongée d’eau, l’absence prolongée de nourriture, l’absence prolongée d’oxygène, une température trop faible ou trop forte de manière prolongée, un pathogène à haute fréquence de létalité…

Il est ironique de songer que toutes ces causes ont été massivement augmentées, voire pour certaines créées de toutes pièces, grâce à la révolution industrielle et à l’idéologie du Progrès, grâce à la science et à la technologie, et des politiques proactives, alimentées par une part énorme des ressources de la collectivité… (quasi 100% dans le système capitaliste néolibéral mondialisé d’aujourd’hui).

La civilisation et puis la révolution industrielles, malgré certains avantages, ont statistiquement largement augmenté la probabilité d’effondrement de la population mondiale et peut-être, malgré le nombre total d’individus et leur répartition géographique, la probabilité d’extinction de l’espèce humaine.